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Bouleau Jaune

13 mars 2024

Mer du Nord: échiquier aérien

L'océan Nord, porte d'entrée maritime idéale pour les pays d'Europe du Nord, a été le théâtre d'une augmentation substantielle des activités des services militaires, en particulier du déploiement d'avions de chasse par chaque fédération russe et par l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN). Cette militarisation croissante remodèle le paysage géopolitique, accroît le stress et suscite des inquiétudes quant au risque de confrontation. La présente évaluation examine les facteurs fondamentaux de cette escalade, les ramifications pour la protection régionale, ainsi que les effets possibles de cette expansion militaire.

La mer du Nord revêt une importance stratégique considérable en raison de sa situation, avion de chasse car elle sert de zone tampon entre les pays membres de l'OTAN et la Russie. Il s'agit d'un chemin critique pour les connexions de câbles sous-marins, les produits énergétiques et l'industrie, ce qui en fait un point central pour l'affirmation de la domination des services militaires et la garantie de la sécurité. L'augmentation actuelle de la présence d'aéronefs des services militaires de chaque partie est une indication de la valeur croissante de la zone dans leurs estimations idéales.

La Russie a renforcé sa présence militaire dans l'océan Nord, en déployant des avions de chasse et des bombardiers sophistiqués pour montrer sa solidité et examiner les réactions de l'OTAN. Ce renforcement peut être associé à un certain nombre d'aspects :

Posture géopolitique : La démonstration de la capacité de l'armée dans les eaux du Nord permet à la Russie d'affirmer son impact dans la région, en contestant la domination de l'OTAN et en montrant sa portée tactique.

Dissuasion idéale : En montrant l'expertise de ses services militaires, la Fédération de Russie vise à décourager l'OTAN d'étendre son influence plus près des frontières russes et à dissuader toute manœuvre agressive potentielle.

Collecte de connaissances : La mise en place d'avions à réaction permet à la Russie d'effectuer des reconnaissances, de recueillir des informations sur les actions de l'armée de l'OTAN et d'améliorer sa connaissance de la situation dans la région.

En réponse aux manœuvres d'affirmation de la Russie, l'OTAN a considérablement amélioré ses patrouilles aériennes et ses déploiements d'avions de combat en mer du Nord. Cette réponse est motivée par la nécessité de :

Réaffirmer son attachement à la sauvegarde du Groupe : L'OTAN aspire à montrer qu'elle est résolue à protéger les revendications de ses membres, en renforçant sa détermination à assurer la défense collective, comme le prévoit l'article 5 du traité de l'OTAN.

Renforcement de la dissuasion et de la protection Posture saine : La présence des avions de combat de l'OTAN vise à décourager l'hostilité européenne et à garantir la capacité de réaction rapide à toute menace éventuelle.

Maintenir la stabilité nationale : En conservant une apparence militaire visible et puissante, l'OTAN entend protéger le statu quo, éviter toute tentative unilatérale de modifier l'harmonie locale de l'énergie et garantir le flux continu du trafic maritime ciblé ainsi que des approvisionnements.

Le nombre croissant d'avions de chasse de la Russie et de l'OTAN dans la mer du Nord a des conséquences importantes pour la sécurité locale :

Risque accru d'accidents : Le renforcement de la présence militaire et les rencontres répétées entre les avions européens et ceux de l'OTAN augmentent le risque d'accidents, qui pourraient dégénérer en conflits plus importants.

Tensions croissantes : L'attitude constante de l'armée joue un rôle dans l'augmentation du stress, de la méfiance et des risques d'erreur de calcul, ce qui peut provoquer involontairement une confrontation.

Dynamique des problèmes de sécurité : Les mesures prises par une seule partie pourraient être considérées comme préjudiciables par l'autre partie, ce qui entraînerait une course aux armements ou une série de réactions susceptibles de déstabiliser davantage la région.

L'atténuation des risques potentiels associés à la multiplication des avions de combat dans l'océan Nord nécessite des efforts diplomatiques, des actions visant à instaurer la confiance et des postes d'interaction ouverts. La Russie et l'OTAN en bénéficieront toutes deux :

d'un renforcement de la communication entre militaires : Développer des lignes directes ou des voies d'interaction régulières pour mettre fin aux malentendus et gérer les événements de manière experte.

Mesures d'ouverture : La discussion de détails sur les entraînements, les déploiements et les objectifs militaires permet de réduire les niveaux de danger perçus et de renforcer la confiance mutuelle.

Efforts de renforcement de l'assurance : La participation à des dialogues, à des entraînements conjoints ou à des missions d'observation peut contribuer à réduire les tensions et à favoriser un climat de collaboration.

La mise en œuvre croissante d'avions de combat par la Russie et l'OTAN dans l'océan Nord est en réalité une manifestation de la concurrence stratégique à plus grande échelle entre ces puissances. Bien que ces actions soient motivées par des questions de protection réputées, elles comportent en outre le risque potentiel d'accroître les tensions et d'engendrer des discordes. Le contrôle de la dissuasion par la diplomatie, le renforcement de l'interaction et l'application d'actions visant à développer la confiance en soi sont des méthodes cruciales pour assurer la stabilité et prévenir une escalade involontaire dans cette région particulièrement cruciale. La communauté internationale locale doit continuer à être consciente et à promouvoir une conduite responsable des services militaires, en encourageant les deux parties à privilégier le dialogue plutôt que la confrontation dans leurs interactions au sein de l'océan Nord.

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21 janvier 2024

La Technologie Peut-Elle Sauver l'Écologie ?

Dans un contexte où les défis écologiques se multiplient à une vitesse alarmante, la question de savoir si la technologie peut sauver l'écologie est devenue d'une importance capitale. Cette interrogation soulève des débats complexes et diversifiés, impliquant des considérations scientifiques, éthiques, économiques et sociales. L'analyse du rôle potentiel de la technologie dans la sauvegarde de l'écologie nécessite une exploration approfondie de ses capacités, de ses limites et de son intégration dans des stratégies environnementales globales.

La technologie a montré qu'elle pouvait apporter des solutions significatives à de nombreux problèmes écologiques. Les innovations dans les énergies renouvelables, telles que l'énergie solaire, éolienne et hydroélectrique, sont des exemples éloquents de la manière dont la technologie peut contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à diminuer la dépendance aux combustibles fossiles. De plus, les progrès dans les domaines de la biotechnologie et de la nanotechnologie offrent des perspectives prometteuses pour la dépollution des sols et des eaux, ainsi que pour la préservation de la biodiversité.

La technologie a également un rôle crucial à jouer dans le domaine de l'agriculture durable. Les innovations en matière de techniques de culture, de gestion de l'eau et de contrôle des ravageurs peuvent aider à augmenter la productivité tout en réduisant les impacts environnementaux. De même, la technologie de l'information et de la communication offre des outils puissants pour la surveillance environnementale, la collecte de données et la sensibilisation du public aux enjeux écologiques.

Cependant, il est essentiel de reconnaître les limites de la technologie en tant que solution unique aux défis écologiques. L'une des principales préoccupations est le risque que la dépendance à la technologie ne mène à une forme de "solutionnisme technologique", où les aspects sociaux, politiques et comportementaux des problèmes environnementaux sont négligés. Il est crucial de comprendre que la technologie doit être intégrée dans une approche holistique qui inclut des changements dans les politiques, les modèles économiques et les comportements individuels.

En outre, l'impact environnemental de la production et du déploiement de technologies est une autre considération importante. Par exemple, la fabrication de panneaux solaires et de batteries pour véhicules électriques implique l'extraction de matières premières et peut générer des déchets toxiques. Il est donc impératif d'adopter des approches de développement technologique qui soient durables et respectueuses de l'environnement tout au long de leur cycle de vie.

Il existe également des inquiétudes concernant l'accessibilité et l'équité dans l'utilisation des technologies environnementales. Les disparités entre les pays développés et les pays en développement en matière d'accès aux technologies peuvent exacerber les inégalités écologiques. Par conséquent, la coopération internationale et les politiques d'équité technologique sont essentielles pour garantir que les bénéfices des technologies écologiques soient partagés de manière équitable à l'échelle mondiale.

En conclusion, bien que la technologie offre des outils puissants pour adresser les problèmes écologiques, elle ne peut pas être la seule réponse. Une approche équilibrée et multidimensionnelle est nécessaire, une approche qui combine l'innovation technologique avec des politiques environnementales efficaces, des changements comportementaux et une prise de conscience collective de la nécessité de vivre de manière plus durable. La technologie, utilisée judicieusement et intégrée dans un cadre plus large de stratégies écologiques, peut jouer un rôle essentiel dans la création d'un avenir durable. Toutefois, elle doit être accompagnée d'un engagement envers l'équité, la durabilité et la responsabilité globale pour véritablement contribuer à la sauvegarde de l'écologie.

10 novembre 2023

le frisson de voler dans un jet de chasse

L'idée de s'envoler dans le ciel à bord d'un avion de chasse, de ressentir la vitesse et l'agilité que ces incroyables machines vous offrent, est un fantasme pour beaucoup. Bien que le pilotage d'un avion de chasse nécessite de nombreuses années d'entraînement rigoureux, l'opportunité de s'envoler en tant que passager donne un avant-goût de cette expérience remarquable. Cet essai explore l'excitation et les subtilités de l'envol à bord d'un avion de chasse en tant que passager, en détaillant les sensations physiques et émotionnelles, la préparation nécessaire et la perspective distinctive qu'il offre sur l'aviation et le rythme.

Les avions de chasse symbolisent l'apogée de la technologie moderne de l'aviation, alliant rapidité, précision et puissance. Ce sont des merveilles d'ingénierie, créées pour opérer dans des conditions extrêmes que peu d'avions peuvent supporter. Pour les passionnés d'aviation comme pour les amateurs de plaisir, la possibilité de voler à bord de l'un de ces jets est la meilleure des aventures, offrant une expérience qui n'a certainement pas d'équivalent dans la vie civile.

Avant de s'envoler, les passagers reçoivent un briefing complet sur la sécurité. Cette préparation est cruciale, car elle leur permet d'acquérir les connaissances nécessaires pour faire face à l'expérience pratique intense qui les attend. Les passagers apprennent les capacités de l'avion, les protocoles de sécurité et la manière de communiquer avec le pilote. Ils sont également formés à l'utilisation du siège éjectable et aux méthodes d'urgence, ce qui garantit que la sécurité est primordiale tout au long de l'expérience.

Les sensations physiques ressenties lors d'un vol à bord d'un avion de chasse mma ne ressemblent à aucune autre forme de voyage. Les passagers sont soumis à des forces G extrêmes lorsque l'avion effectue diverses acrobaties aériennes. Ces forces peuvent être exaltantes, mais elles sont aussi physiquement éprouvantes, car elles soumettent notre corps à une pression intense au cours de transformations, vol en avion de chasse de montées et de plongées brutales. La capacité à résister à ces forces est en fait un témoignage de la résistance du corps humain et de la conception avancée de l'avion.

Au-delà des sensations physiques, voler à bord d'un avion de chasse est une aventure psychologique. La poussée d'adrénaline provoquée par l'accélération à des vitesses supersoniques, l'émerveillement de voir la terre depuis des altitudes considérables et le frisson des manœuvres aériennes créent un cocktail d'exaltation et d'émerveillement. Il est rare de pouvoir découvrir la communauté du point de vue d'un pilote de chasse, un point de vue que peu de gens atteignent.

La scène qui se déroule dans le cockpit d'un avion de chasse de la MMA est spectaculaire. À haute altitude, les passagers peuvent voir la courbure de la terre, la fine ligne bleue de l'atmosphère et les vastes paysages qui s'étendent au-dessous d'eux. Cette perspective n'est pas seulement à couper le souffle, elle rend humble et donne une idée unique de la beauté et de la fragilité de notre planète.

L'élément le plus exaltant d'un vol à bord d'un avion de chasse est probablement la vitesse. Ces avions peuvent voler à des vitesses supersoniques, franchir le mur du son et couvrir de grandes distances en quelques minutes. L'expérience de cette vitesse est viscérale, car le paysage s'estompe et le ciel devient votre terrain de jeu. C'est un rare aperçu de ce que c'est que de se déplacer plus vite que le son, une tâche difficile à comprendre tant qu'on ne l'a pas expérimentée soi-même.

Voler en tant que passager permet de voir de près l'habileté et la précision nécessaires pour piloter ces machines. Les aviateurs de chasse comptent parmi les meilleurs du monde de l'aviation. Ils sont capables de gérer la puissance et l'agilité des avions à réaction. Observer leur calme et leur compétence pendant le voyage aérien est à la fois rassurant et impressionnant.

Juste après le vol, les passagers finissent souvent par assimiler les connaissances acquises pendant plusieurs jours. Il est courant de ressentir un mélange d'euphorie et de contemplation, en réfléchissant à l'aventure et à son impact. Nombreux sont ceux qui décrivent l'événement comme ayant transformé leur mode de vie, modifiant leur point de vue sur la vitesse, la technologie et les limites des capacités humaines.

Pour tous ceux qui s'intéressent à l'aviation, voler à bord d'un avion de chasse n'est pas seulement passionnant, c'est aussi instructif. Il offre un aperçu de l'aérodynamique, du fonctionnement de l'avion et des exigences physiques et mentales d'un vol à ce niveau de performance élevé. Cette expérience permet d'approfondir son appréciation de l'aviation et de ses progrès. Le souvenir d'un vol à bord d'un avion de chasse reste gravé dans la mémoire des passagers longtemps après le vol. C'est un scénario sans pareil à partager, une expérience exclusive qui les distingue des autres. Pour beaucoup, il s'agit d'un objectif atteint, d'un élément de la liste des choses à faire dont on se débarrasse de manière spectaculaire.

En conclusion, voler à bord d'un avion de chasse en tant que passager est une aventure sans précédent, pleine de sensations fortes, de compréhension et d'une nouvelle appréciation des merveilles de l'aviation. C'est une expérience qui repousse les limites du mode de vie ordinaire, offrant un aperçu des caractéristiques extraordinaires des avions de chasse ainsi que de l'habileté de ceux qui les pilotent. Pour ceux qui entreprennent cette quête, il ne s'agit pas seulement d'un vol ; c'est une expérience inoubliable qui laisse une perception durable, résumant l'essence particulière de la vitesse, de la technologie et de l'accomplissement humain.

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3 octobre 2023

L'Évolution de l'Impression 3D

L'impression 3D, également connue sous le nom de fabrication additive, est une technologie qui a révolutionné la manière dont nous concevons, prototypions et fabriquons des objets. Son histoire est marquée par des avancées technologiques rapides, des applications diverses et un impact croissant sur de nombreux secteurs de l'industrie et de la société.

Les origines de l'impression 3D remontent aux années 1980, lorsque les premières techniques de fabrication additive ont été développées. Le principe fondamental de l'impression 3D est de créer des objets couche par couche à partir de matériaux tels que le plastique, le métal ou la céramique. Cette approche révolutionnaire a permis de concevoir des formes complexes et des prototypes rapidement et à moindre coût.

Dans les premiers jours de l'impression 3D, les machines étaient coûteuses, complexes à utiliser et principalement réservées à des applications industrielles et de recherche. Cependant, au fil du temps, la technologie s'est démocratisée, les coûts ont diminué et la convivialité s'est améliorée. Cela a ouvert la porte à une adoption plus large de l'impression 3D dans de nombreux domaines.

L'une des premières applications importantes de l'impression 3D a été la fabrication de prototypes. Les concepteurs et les ingénieurs pouvaient créer des modèles physiques de leurs conceptions en un temps record, accélérant ainsi le processus de développement de produits. Cela a eu un impact significatif sur l'industrie manufacturière, réduisant les délais et les coûts de développement.

L'impression 3D a également trouvé des applications dans le domaine de la médecine. Des implants personnalisés, des prothèses et même des organes imprimés en 3D sont devenus une réalité. Cette technologie a permis d'améliorer la qualité de vie des patients et d'accélérer les progrès dans le domaine de la médecine régénérative.

L'industrie aérospatiale a adopté l'impression 3D pour la fabrication de pièces légères et complexes, réduisant ainsi le poids des aéronefs et améliorant leur efficacité énergétique. Les applications dans l'automobile, l'architecture, la joaillerie, et bien d'autres domaines ont également émergé au fil des ans.

L'évolution de l'impression 3D ne se limite pas aux matériaux plastiques. La technologie s'est diversifiée pour inclure l'impression 3D de métaux, de céramiques, de composites et même de matériaux biologiques. Cette diversification a élargi les possibilités d'application de l'impression 3D, permettant la fabrication de pièces métalliques résistantes, de prothèses dentaires sur mesure, et même d'aliments imprimés en 3D.

Les avancées dans les logiciels de modélisation 3D ont également joué un rôle crucial dans l'évolution de l'impression 3D. Les concepteurs peuvent désormais créer des modèles 3D complexes avec une facilité accrue, tandis que les logiciels de simulation permettent de prévoir le comportement des objets imprimés avant même de les produire physiquement.

Cependant, l'impression 3D présente également des défis et des préoccupations. La qualité des pièces imprimées peut varier en fonction de la technologie utilisée, des matériaux et des paramètres de production. La sécurité des données et la protection de la propriété intellectuelle sont des préoccupations majeures, car les fichiers de modélisation peuvent être facilement partagés et reproduits.

L'impression 3D soulève également des questions éthiques et légales, notamment en ce qui concerne la fabrication d'armes à feu imprimées en 3D et la possibilité de contrefaçon de produits protégés par des droits d'auteur.

En conclusion, l'impression 3D a connu une évolution impressionnante depuis ses débuts modestes. Cette technologie a révolutionné de nombreux secteurs, de la fabrication à la médecine, en passant par l'architecture et l'aérospatiale. Cependant, il est essentiel de relever les défis liés à la qualité, à la sécurité, à la propriété intellectuelle et à l'éthique pour garantir que l'impression 3D continue de bénéficier à la société de manière éthique et responsable. L'avenir de l'impression 3D dépendra de notre capacité à exploiter son potentiel tout en abordant ces questions de manière proactive.

4 juillet 2023

Les épices indiennes pour prévenir les maladies chroniques

Les plats indiens sont réputés pour leur utilisation d'épices et d'herbes aromatiques qui ajoutent une touche de richesse à la nourriture. Mais savez-vous que ces assaisonnements ne sont pas seulement délicieux, mais qu'ils présentent également de nombreux avantages pour la santé ? La consommation régulière d'épices dans la cuisine indienne continue d'être très appréciée depuis des siècles, et des recherches contemporaines ont révélé qu'elles ont en fait des effets bénéfiques considérables sur la santé et la forme physique. Dans cet essai, nous allons voir comment les plats indiens et leurs assaisonnements peuvent contribuer à votre bien-être.

Tout d'abord, la nourriture indienne est riche en antioxydants. Les épices et les herbes comme le curcuma, le gingembre, la cannelle et les clous de girofle contiennent de grandes quantités d'antioxydants qui aident à protéger le système contre les radicaux libres. Les radicaux libres sont des substances imprévisibles qui endommagent les tissus et provoquent des irritations. Les antioxydants réduisent les effets de ces radicaux libres, protégeant les cellules des dommages et diminuant les gonflements dans le corps. En incluant ces assaisonnements dans ses recettes, la cuisine indienne permet d'éviter des affections constantes telles que les cancers, les maladies coronariennes et la maladie d'Alzheimer.

Un autre avantage de la cuisine indienne, avec ses épices et ses herbes, est qu'elle a des propriétés anti-inflammatoires. Un grand nombre d'épices et d'herbes utilisées dans la cuisine indienne ont des propriétés anti-inflammatoires naturelles. Le curcuma, par exemple, est bien connu pour ses propriétés anti-inflammatoires, qui peuvent aider à réduire les symptômes de l'arthrite et des allergies, ainsi que d'autres circonstances inflammatoires. Le gingembre, le cumin et les gousses d'ail sont également connus pour leurs composants anti-inflammatoires, ce qui en fait d'excellents compléments à la cuisine indienne.

Les plats indiens sont également bons pour la digestion. Un grand nombre d'épices ou d'herbes utilisées dans la cuisine indienne, comme le cumin, la coriandre, le fenouil et le gingembre, ont des propriétés organiques sur l'intestin. Ces assaisonnements contribuent à stimuler la création d'enzymes dans le système digestif, ce qui favorise une meilleure digestion des aliments et réduit le risque de troubles intestinaux tels que les ballonnements, la constipation et les maux d'estomac. La teneur élevée en fibres de nombreux plats indiens peut également contribuer à une fonction digestive saine et à des selles normales.

En outre, les assaisonnements utilisés dans la cuisine indienne peuvent également contribuer à réguler le taux de sucre dans le sang. Des épices telles que la cannelle, le curcuma et le fenugrec se sont révélées utiles pour normaliser la glycémie, cours de cuisine nice ce qui les rend bénéfiques pour les personnes atteintes de diabète. Ces épices peuvent contribuer à améliorer la sensibilisation à l'insuline sanguine, à minimiser le risque potentiel d'opposition à l'insuline sanguine et à réduire les niveaux de glucose dans le sang.

Enfin, la nourriture indienne et ses épices sont bénéfiques pour perdre du poids. De nombreux plats indiens sont naturellement moins caloriques, mais riches en fibres et en protéines, ce qui les rend rassasiants et gratifiants. Il a également été prouvé que les épices utilisées dans la cuisine indienne, notamment le cumin, la coriandre et le curcuma, contribuent à améliorer le processus métabolique et à brûler les graisses. Par conséquent, l'intégration de la cuisine indienne dans votre alimentation quotidienne peut vous aider à atteindre vos objectifs en matière de perte de poids.

En résumé, la cuisine indienne et ses épices présentent de nombreux avantages pour la santé. Ses qualités antioxydantes, anti-inflammatoires et digestives, ainsi que sa capacité à gérer les niveaux de glucose et à aider à la réduction du poids, en font un choix sain pour ceux qui cherchent à améliorer leur état de santé général. En intégrant la cuisine indienne à votre programme alimentaire, vous profiterez d'aliments délicieux et plus sains, excellents pour le corps et l'esprit.

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26 mai 2023

L'Amérique est-elle en déclin?

Alors que les dirigeants mondiaux et asiatiques se réunissent ce mois-ci à Cannes pour le G20, à Honolulu pour les réunions de l'APEC et à Bali pour le sommet de l'Asie de l'Est, un phénomène colorant la perception qu'ont certains observateurs de la politique et de l'économie mondiales est le prétendu déclin des États-Unis. Depuis le début de la crise financière internationale en 2008, la question de savoir si les États-Unis déclinent est apparue en Chine et dans d'autres pays. Certaines personnes, y compris certains Américains eux-mêmes, pensent même qu'un déclin irréversible "a commencé aux États-Unis et que le monde entre dans une ère post-américaine".
Le pouvoir national et l'équilibre international des pouvoirs ― et leur perception ― sont en effet des questions stratégiques très importantes. En raison du statut international spécial des États-Unis, comprendre et juger avec précision la force et le statut des États-Unis sur la base des faits est devenu un problème stratégique, politique et universitaire majeur auquel sont confrontés les gouvernements de tous les pays du monde ainsi que le monde universitaire, les entreprises cercles, les médias et les gens dans tous les pays. Depuis que l'économie américaine a connu un ralentissement pendant la crise financière et après la fin de la crise, toutes sortes de difficultés et de problèmes se sont fait jour. Les principales questions posées aux États-Unis et au monde sont les suivantes: s'agit-il d'un problème à court terme et partiel auquel sont confrontés les États-Unis ou va-t-il s'agir d'une tendance à long terme? Cela signifie-t-il que l'ensemble du pays des États-Unis se dirige vers un déclin? Quelles sont les implications pour le système mondial et pour chaque pays?

Avec la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis sont devenus une superpuissance mondiale. Sa force et son statut ont atteint un autre sommet au milieu et à la fin des années 1990 à la fin de la guerre froide: ils représentaient environ 30% de la production économique mondiale. Cependant, après son entrée dans un nouveau cycle économique de 2000 à 2001, la part américaine de l'économie mondiale a progressivement diminué. Dans le même temps, certaines situations, notamment l'affaiblissement des avantages par rapport à d'autres pays », sont apparues dans certains domaines principaux du pouvoir national des États-Unis. Cette tendance a déjà commencé avant les attentats terroristes du 11 septembre 2001, s'est poursuivie pendant la crise financière internationale et se poursuit encore aujourd'hui.
Dans le même temps, aucun changement fondamental n'est intervenu dans les sources du pouvoir et de l'influence des États-Unis, tels que l'économie, la science et la technologie, la force militaire, l'influence politique internationale et le soft power culturel. Les États-Unis sont toujours la seule superpuissance globale au monde. Les difficultés et les problèmes qui existent actuellement aux États-Unis sont fondamentaux ou globaux. Certains peuvent être à court terme. Aucun déclin global, évident et fondamental »n'est encore apparu dans la force et le statut des États-Unis. Bien que la force et l'influence des États-Unis soient légèrement inférieures à ce qu'elles étaient avant le début de la crise économique en 2008, aucune tendance claire à la baisse à long terme n'est apparue.
Tout d'abord, il est difficile de déterminer actuellement si les difficultés rencontrées par les États-Unis pendant et après cette crise internationale seront de longue durée ou non. Bien que le pouvoir destructeur de ce cycle de crise financière mondiale soit assez fort, il ne peut toujours pas être mentionné dans le même souffle que la crise économique mondiale des années 1920 et 1930. La crise économique mondiale de 1929 à 1933 a entraîné l'ensemble de l'économie mondiale en pleine récession. La livre sterling a perdu son statut de monnaie mondiale. L'économie, le marché boursier et le taux d'emploi aux États-Unis ont tous chuté d'environ un tiers et ont contribué à déclencher une nouvelle guerre mondiale.
Jusqu'à présent, les implications de la crise actuelle sont très différentes. La force des États-Unis, mesurée ici par la part des États-Unis dans la production économique mondiale totale, a en effet relativement diminué. Cependant, il n'est passé que de 28% à environ 25%. Même en regardant les estimations les plus extrêmes, elle n'est tombée que de 30% à 24%. Ce n'est pas insignifiant, mais cela ne représente pas une baisse fondamentale. Même si nous ne pouvons pas dire que le 21e siècle sera un siècle américain », les États-Unis conserveront au moins une certaine position dominante au cours des premières décennies de ce siècle. De plus, aucun changement fondamental n'est intervenu dans la structure mondiale et aucun n'est prévu.
Pour évaluer la situation économique d'un pays, il est utile d'avoir une vue d'ensemble. En termes de croissance économique, l'économie américaine se porte relativement bien, que ce soit par rapport à d'autres pays développés ou au rythme mondial. Les États-Unis ont toujours maintenu un taux de croissance relativement élevé depuis les années 1930, y compris plus de 60 ans après la Seconde Guerre mondiale. Si nous considérons tous les 10 ans comme un segment distinct, le taux de croissance économique annuel moyen des États-Unis au cours de chaque période de 10 ans au cours des 70 dernières années a été supérieur à 3%. Un tel record ne serait pas suffisamment élevé pour une économie en développement, mais pour une économie énorme, mature et développée, comme celle des États-Unis, il s'agit d'un assez bon taux de croissance.
Au cours des 20 dernières années et pendant la plupart des 10 dernières années, la croissance économique des États-Unis a toujours été plus rapide que celle d'autres pays développés comme l'Europe ou le Japon, où les taux de croissance ont persisté entre 1% et 2%. Par conséquent, si l'Europe et le Japon, avec une faible croissance économique depuis longtemps, ne sont généralement pas considérés par les gens comme des entités qui ont évolué vers le déclin », alors pourquoi parlons-nous du déclin» des États-Unis? Au cours d'une période donnée de 10 ans, l'économie américaine n'a jamais reculé, et elle a même connu une croissance de 4% ou même supérieure à 5% certaines années.
Deuxièmement, la stabilité et l'influence du système politique américain, de l'idéologie et des concepts de valeur ont en effet été grandement affectées au XXIe siècle, avec l'impact de deux guerres, d'une consommation élevée et de la crise financière. Cela se reflète non seulement dans certains aspects de l'économie, mais surtout, il apparaît dans d'autres domaines tels que le statut, la réputation et l'influence des États-Unis dans le monde. Les États-Unis n'ont plus le pouvoir écrasant et l'influence idéologique absolue dans le monde dont ils jouissaient avant la guerre en Irak. L'influence de ce que l'on peut appeler l'idéologie autodéfinie des États-Unis - démocratie, liberté et droits de l'homme - a considérablement diminué dans le monde à cause de la guerre en Irak. La crise financière internationale, provoquée en partie par une consommation gravement excessive aux États-Unis, a également affecté négativement l'attrait du modèle d'économie de marché. En conséquence, l'influence américaine dans le monde a sérieusement chuté. Au cours des 10 dernières années, lorsque des responsables gouvernementaux et des politiciens américains ont crié haut et fort à propos de la démocratie, des «droits de l'homme» et de l'économie de marché »devant le monde entier, ils semblaient ne pas être en mesure de mettre en œuvre ces mots, et en fait, ils ont également semblait manquer de confiance dans leur propre rhétorique. En effet, de graves problèmes et erreurs sont apparus dans plusieurs domaines où les États-Unis se sont proclamés porte-drapeau, "leader", exemple "et porte-parole". Cependant, après tout, les États-Unis sont toujours le leader et le représentant de la liberté, de la démocratie et de l'économie de marché dans le monde; il jouit toujours de l'influence la plus puissante de l'idéologie politique, du système et des valeurs.
Troisièmement, nous pouvons voir que les États-Unis restent le leader mondial de la force scientifique et technique. Il n'y a eu aucun changement dans la force, le statut et l'influence de la capacité d'innovation américaine et de sa puissance concurrentielle mondiale. Dans les domaines de la science et de la technologie, de l'enseignement supérieur, de la culture de l'innovation, de la force militaire, de la politique mondiale et de la sécurité, les États-Unis sont toujours en avance sur le reste du monde. Selon des statistiques récentes, en 2010, la Chine a dépassé les États-Unis en termes de valeur de production de son industrie manufacturière. Cependant, cela ne prend en compte que la quantité de production, pas la qualité ― et même alors, l'écart n'était pas important, et l'administration Obama essaie de rajeunir l'industrie manufacturière aux États-Unis. Les principaux avantages des États-Unis sont la science et la technologie et le secteur des services, y compris les services financiers.
Les États-Unis sont toujours en avance sur le reste du monde dans le domaine des sciences fondamentales, et ce sont toujours les Américains qui ont reçu le plus de prix Nobel. Dans la plupart des domaines scientifiques et technologiques, tels que les logiciels et le matériel informatique, l'aviation et l'aérospatiale, la biotechnologie, la production agricole, la technologie militaire et les équipements de pointe, les États-Unis conservent leur position de leader. Il n'a perdu sa position de leader que dans quelques industries et domaines, tels que l'automobile. Cependant, même dans l'industrie automobile, les États-Unis sont toujours le plus grand pays de production et de commercialisation de véhicules dans le monde, à l'exception de la Chine. De plus, la plupart des voitures produites en Chine sont produites par des sociétés étrangères en Chine, telles que des sociétés américaines; ce ne sont pas des marques chinoises.
Comparé à d'autres pays du monde, le domaine le plus puissant de la puissance nationale des États-Unis est sa vigueur et sa capacité à innover. Les États-Unis prônent l'innovation, et ses systèmes, sa société et sa culture sont structurés de manière à l'encourager. L'élection de Barack Obama à la présidence en 2008 peut être considérée comme un exemple évident de cette capacité: il serait probablement très difficile pour une personne jeune et relativement inexpérimentée - qui est également d'origine africaine - d'être élue à un tel poste en Europe, Le Japon ou d'autres pays développés. Pourtant, la société américaine poursuit continuellement de nouvelles choses, et sa communauté scientifique et technologique en est le reflet.
Quatrièmement, il est évident que les entreprises américaines restent très compétitives au niveau micro, tout comme l'économie dans son ensemble au niveau macro. Ces dernières années, même si l'économie américaine ne fonctionnait pas très bien, beaucoup plus d'entreprises dans le top 500 mondial provenaient des États-Unis que de toute autre. Parmi les évaluations du pouvoir concurrentiel de tous les pays et régions du monde, les États-Unis restent un grand pays classé parmi les leaders. Ceux qui sont mieux classés que les États-Unis ne comprennent que Hong Kong et plusieurs petits pays, comme Singapour et certains en Europe du Nord; il n'y a pas beaucoup de grands pays dont la puissance concurrentielle est mieux classée que celle des États-Unis. Le pouvoir concurrentiel reste la véritable essence de la force d'un pays.
Cinquièmement, les avantages des États-Unis sont encore plus évidents en termes de soft power. Aucun autre pays dans le monde, y compris l'Europe et le Japon, ne peut rivaliser avec les États-Unis ou être au même niveau que les États-Unis en termes de soft power. Dans tous les problèmes et différends qui sont apparus en Asie en 2010, y compris ceux d'Asie centrale, toutes les parties du Japon et de la Corée du Sud à divers pays sous l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ANASE) comme le Vietnam et Singapour, puis même le Kirghizistan, ont tourné leur attention aux États-Unis, se pencha vers lui et a travaillé à renforcer les relations avec lui. On peut même dire qu'ils se sont appuyés sur les États-Unis à des degrés divers. Cela a prouvé que les États-Unis sont toujours la seule superpuissance et le pays le plus influent d'Asie et du monde.
Outre son statut et son influence dans la politique et la sécurité, qui sont incomparables, l'influence de la culture, de l'éducation, du style de vie et de la pensée des États-Unis ne peut pas être égalée par celle d'autres pays du monde. Les films hollywoodiens, la restauration rapide, la musique, les stars du sport et d'autres produits culturels restent connus dans le monde entier. Sur une note différente, le système éducatif des États-Unis attire les jeunes les plus remarquables du monde entier. Dans ces domaines liés au soft power, le statut et l'influence des États-Unis n'ont pas beaucoup diminué ni changé et, il faut le dire, d'autres pays et régions du monde ne se sont pas renforcés dans ces domaines. Le reste du monde fait toujours face à un énorme déficit de soft power avec les États-Unis.
En résumé, à la fois la crise financière et le manque de vigueur de la reprise économique après la crise n'ont jusqu'à présent pas fait perdre aux États-Unis leurs avantages fondamentaux dans le hard power et le soft power. Les États-Unis sont toujours le pays le plus puissant et le plus influent du monde, et c'est aussi la seule superpuissance au monde. Les difficultés actuelles auxquelles sont confrontés les États-Unis peuvent durer un certain temps ou peuvent être résolues au cours des prochains mois ou années. Quoi qu'il en soit, aucun signe de déclin global et fondamental aux États-Unis n'est encore apparu, sans parler d'un déclin irréversible. »
Problèmes et difficultés majeurs auxquels sont confrontés les États-Unis
Professeur de science politique et de relations internationales, Université Tsinghua
Les États-Unis, comme tous les pays, ont leur part de problèmes et de défis à surmonter. Si ces problèmes ne sont pas résolus ou traités efficacement, ils auront le potentiel d'affecter la force et le statut des États-Unis, au moins dans une certaine mesure, à long terme.
Un problème majeur auquel sont confrontés les États-Unis est celui de la capacité et du pouvoir concurrentiel de leur industrie manufacturière. En tant que base d'une économie assez grande et forte, le pourcentage de la part des États-Unis dans la fabrication mondiale a chuté au cours des dernières décennies et a perdu sa position de leader dans certains domaines. Dans l'industrie de l'aviation civile, par exemple, en un peu plus de 10 ans, le ratio de parts de marché entre Boeing et Airbus est passé de 7: 3 ou 6: 4 à environ 5: 5 ces dernières années. De même, le nombre d'automobiles produites par l'Europe, le Japon et la Corée du Sud est devenu de plus en plus important, et la part étrangère du marché américain a déjà dépassé le tiers. De plus, il semble que le nombre de produits américains qui ont une position de leader dans le monde et qui peuvent être exportés vers le marché mondial est devenu de plus en plus petit.
Un deuxième problème est celui de la santé, de la stabilité et de la qualité des industries de services pertinentes, telles que la finance. Les États-Unis sont déjà devenus une économie et une société post-industrielles. La majeure partie de son économie est le secteur des services. Cependant, un certain nombre de difficultés et de problèmes graves sont également apparus dans ses principaux secteurs au cours des dernières décennies. L'industrie financière américaine est la plus avancée du monde, mais en raison de problèmes tels qu'une expansion excessive, des avantages personnels trop élevés et une supervision insuffisante, la fausse prospérité de l'industrie financière américaine et ses problèmes ont été complètement exposés pendant cette crise financière. Cette infection dans le sang »de l'économie moderne a causé de graves dommages aux économies américaine et mondiale.
Le gouvernement américain et le Congrès ont tenté de prendre des mesures pour réformer le secteur financier, en créant de nouvelles réglementations, en essayant d'améliorer la supervision et en essayant de la maintenir. Cependant, la question de savoir si ces mesures et réglementations seront mises en œuvre et exécutées ou non, et si elles auront ou non des effets réels, reste une question. Les mesures et réglementations pertinentes, y compris celles visant à empêcher que les paiements aux cadres supérieurs du secteur financier ne deviennent trop élevés, ont déjà rencontré une résistance de la part du secteur financier. Il semble qu'il ne sera pas facile de se débarrasser véritablement des problèmes du secteur financier américain, tout comme il s'avère difficile de réparer les dommages causés par la crise financière.
En outre, une grave tendance à la baisse de la qualité est également apparue dans d'autres industries de services aux États-Unis. Au cours des 20 à 30 dernières années, toutes les personnes qui ont résidé, travaillé et vécu aux États-Unis, ou qui se sont souvent associées à tous les milieux aux États-Unis, ont clairement ressenti le déclin de la qualité et de l'efficacité de différents secteurs de son industrie du service. La qualité des services fournis par les compagnies aériennes, les restaurants, les banques et les sociétés de télécommunications, entre autres, a chuté et les moyens de remédier aux problèmes sont souvent jugés insatisfaisants par les consommateurs. La culture du pourboire aux États-Unis », qui embrouille souvent les visiteurs étrangers, est rendue encore plus confuse par le fait que la pratique de la gratification semble avoir perdu son sens originel. Peu importe que le service soit bon ou mauvais, ou même en l'absence de service, les clients doivent donner des conseils. De nombreux pourboires sont inscrits directement sur les factures et leur montant a déjà atteint environ 20% du montant total de la consommation.
Un troisième problème est celui de la répartition des richesses et des revenus et du développement durable. Les statistiques et les points de vue de diverses sources aux États-Unis, comme le gouvernement et le monde universitaire, indiquent systématiquement qu'au cours des 30 années écoulées depuis 1980, le revenu réel des travailleurs ordinaires aux États-Unis, y compris la classe moyenne, n'a même pas augmenté. bien que l'économie se développe et que les bénéfices augmentent au cours de la même période. Il semble que les fruits du développement économique aient été taillés par quelques capitalistes et entrepreneurs. En conséquence, la société aux États-Unis est devenue plus déséquilibrée et l'écart entre riches et pauvres s'est sérieusement élargi, une tendance qui a été illustrée pour beaucoup lors de la récente crise financière, lorsque quelques cadres supérieurs de certaines entreprises ayant subi des pertes énormes ont été récompensés. des primes »pouvant atteindre plusieurs millions ou dizaines de millions de dollars.
Ce grave déséquilibre dans la répartition des richesses et le développement économique aura un impact à long terme sur la croissance économique. L'économie dite post-industrielle est une économie de services et une économie de consommation: elle est poussée par la consommation. Cependant, ce modèle ne peut pas compter sur la consommation d'une poignée de personnes seulement. Au lieu de cela, il doit s'appuyer sur la consommation de masse. En effet, de nombreuses statistiques montrent que les capitalistes et les personnes à revenu élevé ne consacrent souvent qu'une petite partie de leur revenu à la consommation, préférant plutôt utiliser leur richesse pour des investissements afin de gagner de l'argent avec de l'argent. » Une économie basée sur les services et la consommation ne peut rester saine dans de telles circonstances.
Un quatrième problème est celui des déficits budgétaires et commerciaux. Le gouvernement, le Congrès, le Système de réserve fédérale et tous les horizons de la vie aux États-Unis ont réalisé que les énormes déficits budgétaires et commerciaux sont un grave problème qui affecte le développement économique du pays. En 2010, le déficit budgétaire aux États-Unis était de 1,3 billion de dollars américains, soit environ 9% du produit intérieur brut (PIB) américain et équivalait à 35% des dépenses publiques cette année-là. 3 Sur la base des normes internationales et par rapport aux chiffres des pays développés concernés, tels que le Japon, ce nombre n'est pas le plus élevé, et peut-être même pas trop élevé. Cependant, la dette nationale a atteint 14 billions de dollars américains, un chiffre supérieur au PIB annuel américain et qui a déclenché une crise politique l'été dernier.
En raison du déficit budgétaire et de la dette publique, les ressources à consacrer à la production et à l'investissement sont limitées. Au lieu de cela, de grandes sommes d'argent doivent être dépensées pour les dépenses publiques et les paiements d'intérêts. La reconstruction et l'amélioration de l'infrastructure physique américaine est un élément qui a suscité beaucoup de débats aux États-Unis.Bien que les États-Unis soient une superpuissance mondiale, ils dépensent beaucoup moins en infrastructures que la Chine, qui est un pays en développement. 4 Par conséquent, il apparaît à certains que le gouvernement américain n'a pas la force suffisante pour développer l'économie; le déficit budgétaire est trop important. Du fait du déficit budgétaire et de la dette publique, les États-Unis sont également confrontés au danger d'inflation. Si cela continue, cela pourrait entraîner une dépréciation du dollar et pourrait nuire au pouvoir concurrentiel international des États-Unis.
L'influence du déficit commercial qui existe depuis longtemps sur l'économie américaine n'est pas aussi évidente que l'influence du déficit budgétaire. De manière générale, le déficit du commerce extérieur de la monnaie américaine sortira du pays. Il cause également des effets sur la production intérieure et l'emploi. Cependant, comme le dollar est la monnaie internationale, la sortie de dollars n'a pas affecté son statut international et n'a pas pour la plupart affaibli sa valeur. De même, l'impact des produits importés sur l'emploi aux États-Unis n'est pas aussi important que certains arguments sensationnels pourraient le faire apparaître. Cela est dû au fait que la plupart des produits importés par les États-Unis ne sont pas fabriqués par les États-Unis ou sont fabriqués par les États-Unis en très petite quantité.
Un cinquième problème concerne les dépenses militaires et la stratégie internationale. Tout comme le service de la dette représente une part importante des dépenses du gouvernement américain, il en va de même pour les dépenses militaires, les guerres étrangères et l'ingérence étrangère. En partie à cause des dépenses excessives dans ces domaines, les États-Unis n'ont pas dépensé plus de richesse pour leur propre développement, mais ont dépensé dans et pour d'autres pays et régions. Au cours des 20 années écoulées depuis la fin de la guerre froide, le monde est devenu plus pacifique et stable. Même si l'incident du 11 septembre s'est produit et que la menace du terrorisme international est devenue plus apparente, faire face à ce défi ne nécessite pas une guerre à grande échelle ou des dépenses trop importantes. Alors que le nombre de guerres dans le monde a diminué au cours des 10 dernières années, les dépenses militaires des États-Unis ont considérablement augmenté; les dépenses totales pour la guerre en Irak et la guerre en Afghanistan ont déjà atteint 1,2 billion de dollars US. 5 Pour dire les choses simplement, si les États-Unis n'avaient pas dépensé autant d'argent pour les affaires militaires et les guerres et qu'ils l'avaient plutôt dépensé pour le développement économique, social et des infrastructures à l'intérieur du pays, un résultat très différent aurait été obtenu.
Dans une certaine mesure, les États-Unis suivent une voie malheureuse que d'autres grands pays, comme l'ancienne Union soviétique, ont déjà empruntée à l'histoire, gaspillant trop de ressources et trop de richesses nationales pour l'expansion militaire, les guerres et l'ingérence étrangère. Si le gouvernement et le public aux États-Unis insistent sur un tel statut de leadership mondial et de domination mondiale, alors nous ne devrions pas être surpris de voir que sa force ne correspond pas à ses ambitions dans les domaines du développement économique et social à l'intérieur du pays.
Un sixième problème est celui de la taille et de la structure de la population. L'essor et le développement de la Chine et de l'Inde au cours des dernières décennies ont une fois de plus prouvé au monde qu'une certaine taille de population est toujours l'un des facteurs fondamentaux de la productivité et du développement économique. Dans le même temps, les expériences dans le monde entier ont également prouvé que la croissance démographique ne peut pas à elle seule générer des effets positifs pour le développement économique. Au lieu de cela, il devrait également être accompagné d'une amélioration de la qualité de la population en même temps, y compris l'éducation, les compétences, les revenus et la consommation. Dans ce cas, la croissance démographique peut générer des effets actifs pour le développement économique.
Les États-Unis sont presque le seul pays développé à avoir connu une croissance démographique relativement rapide au cours des dernières décennies. Selon les statistiques du United States Census Bureau, la population des États-Unis atteignait 300 millions à la fin de 2006, la troisième population nationale en importance au monde. On estime que la population totale des États-Unis atteindra 400 millions d'ici 2040 et 500 millions d'ici la fin du 21e siècle. 6
Cependant, la croissance démographique aux États-Unis n'a pas apporté de moteur évident à la croissance économique ces dernières années. La raison principale est que la qualité de la population ne s'est manifestement pas améliorée. Au fil des ans, la principale source de croissance démographique aux États-Unis a été l'immigration légale et illégale en provenance d'Amérique latine, et cette communauté maintient un taux de natalité élevé. Ce groupe est généralement perçu comme ayant un niveau d'éducation relativement faible, des compétences en anglais souvent médiocres, des revenus généralement inférieurs et donc un pouvoir de consommation plus faible, et moins de compétences professionnelles que la population générale des États-Unis. 7 Par conséquent, la croissance démographique avec ce groupe de personnes n'a pas entraîné une forte augmentation de la productivité et de la consommation, ni une augmentation globale de l'économie, mais fournit une bonne partie de la main-d'œuvre non qualifiée et peu rémunérée. Aux États-Unis, la tendance typique est que la première génération d'immigrants se débat de cette manière et que la deuxième génération commence à contribuer à des niveaux plus élevés de l'économie. Cependant, les problèmes que les statistiques révèlent dans le système éducatif américain pourraient révéler pourraient menacer ce modèle.
Un septième problème est celui de la culture sociale et des concepts de valeur. Les mouvements sociaux pertinents qui ont commencé à apparaître dans les années 1960 aux États-Unis, tels que le mouvement anti-guerre, le mouvement pour les droits de l'homme, les hippies et la libération sexuelle, ont non seulement apporté des progrès actifs dans des domaines pertinents, tels que la démocratie, la liberté et les droits de l'homme. droits, mais a également causé de nombreux problèmes sociaux, y compris l'expansion des désirs personnels et la conscience du pouvoir, et une baisse du sens du devoir parmi les parties de la société; beaucoup estiment que la discipline est devenue laxiste et que la volonté des gens d'apprendre de nouvelles choses et de travailler dur s'est affaiblie (il convient de noter que cette tendance est déplorée dans un certain nombre de pays, pas seulement aux États-Unis). Le travail, l'apprentissage, l'efficacité, les capacités et les compétences ont chuté, et les étudiants américains prennent du retard sur leurs homologues dans de nombreux pays pour certains tests standardisés. 8 De plus, le niveau de service du secteur des services a baissé, l'efficacité n'est pas élevée dans certains domaines et services et le pouvoir concurrentiel de certains secteurs de la société n'est pas assez fort. Tous ces éléments sont directement liés aux valeurs et aux concepts culturels des gens.
Aux États-Unis, les néoconservateurs ont tenté de changer les tendances défavorables du développement social et culturel aux États-Unis à travers des concepts de valeur pertinents, tels que le rajeunissement de la religion et la tentative de revitaliser certaines valeurs traditionnelles. » Cependant, peu de réalisations ont été réalisées. Au contraire, en raison de certaines politiques et actions extrêmes des néoconservateurs dans des domaines tels que la politique, la société et la diplomatie, leur influence dans la politique et la société américaines a progressivement diminué. Le mouvement du Tea Party semble détenir un grand pouvoir au sein du Parti républicain, mais sa capacité à affecter la société dans son ensemble est discutable.
En bref, bien que les problèmes et difficultés mentionnés ci-dessus soient graves et aient causé de nombreux effets négatifs pour les États-Unis et leur société, ces problèmes et difficultés ne sont pas, à ce jour, fondamentaux et irréversibles. Jusqu'à présent, ils n'ont pas affecté de manière générale et fondamentale la force, le pouvoir concurrentiel et le développement des États-Unis. À l'heure actuelle, il est encore difficile de déterminer si elles auront ou non un impact fondamental sur la tendance du développement à long terme aux États-Unis à l'avenir. La réponse à cette question dépend des capacités des États-Unis et de leur société à surmonter et à résoudre les difficultés et les problèmes mentionnés ci-dessus actuellement et à l'avenir, et des résultats de leurs efforts pour y parvenir.


28 février 2023

Le plaisir de voler dans un avion de chasse

L'avion de chasse dans lequel je devais voyager était le L-39 Albatros, un avion de chasse léger doté d'une maniabilité et d'une vitesse impressionnantes. Lorsque je suis monté dans le cockpit avec l'aviateur de l'avion de chasse mma à mes côtés, j'ai vraiment eu du mal à contenir mon plaisir. Alors que nous avions décollé de l'aéroport du sud de la France, mes yeux étaient fixés sur la vue magnifique qui s'offrait à moi. L'avion de chasse a rapidement glissé à travers des kilomètres infinis de ciel bleu clair tandis que nous nous élevions de plus en plus haut au-dessus des nuages.

Les compétences du pilote de chasse étaient évidentes alors qu'il exécutait des manœuvres compliquées sans effort et avec précision tout en me les décrivant de manière évidente. Des roulades et des loopings aux split-S et aux hammerheads, chaque mouvement sonnait comme une danse élégante parfaitement chorégraphiée contre le ciel. Parfois, l'avion de combat mma frissonnait alors que nous atteignions sa vitesse maximale de Mach 1,5 et j'avais l'impression que l'avion était une partie de moi qui répondait à chacun de mes ordres. J'ai fini par avoir la chance de prendre le contrôle et de piloter l'avion moi-même, ressentant un énorme sentiment de satisfaction à chaque manœuvre réussie.

Le vol en avion de chasse dans le sud de la France restera pour moi une rencontre inoubliable, vol en avion de chasse à Avignon qui a laissé une trace indélébile dans mon âme. C'était vraiment une chance unique et je suis reconnaissant de l'avoir vécue ! Les choses n'auraient pas pu être meilleures - des conditions climatiques idéales à l'expertise et aux connaissances du pilote de chasse - tout s'est réuni pour que le vol en avion de chasse mma soit inoubliable. Je n'oublierai jamais la sensation de pure exaltation que m'a procurée le fait d'être un pilote de chasse pendant seulement une journée. Si vous êtes à la recherche d'une aventure hors du commun, cette rencontre avec un avion de chasse mma est certainement à considérer !

L'expérience militaire du pilote de chasse n'était pas seulement évidente dans ses manœuvres et ses capacités, mais aussi dans les récits qu'il a partagés de son temps en tant que pilote de chasse mma pour votre pression aérienne française. Ses récits de batailles atmosphériques audacieuses, de fêtes de la victoire et d'enseignements tirés de l'expérience ont mis en lumière son incroyable expérience des services militaires. Parfois, je me suis surpris à imaginer ce que cela aurait dû être de faire partie d'un mode de vie aussi passionnant - s'élever dans le ciel tout en menant des opérations de combat aérien au rythme effréné. C'était vraiment très émouvant de connaître les sacrifices consentis par ces courageux pilotes de chasse pour sauvegarder notre liberté.

Voir le sud de la France depuis l'avion de chasse mma est une rencontre inégalée que je n'oublierai jamais. Alors que nous survolions les régions du Verdon et de la Drôme, mes yeux ont eu droit à des vues époustouflantes de collines ondulantes, de vignobles et de zones dorées qui s'étendaient à perte de vue. Vers l'est, les majestueuses Alpes françaises se profilaient au loin, avec leurs sommets enneigés offrant un arrière-plan époustouflant dans un ciel bleu clair brillant. C'était un spectacle que l'on ne peut vivre qu'en s'élevant dans le ciel à l'intérieur d'un avion de chasse de la meilleure qualité !

Chaque vol pendant mon séjour dans le sud de la France a été vécu comme un voyage extraordinaire, que je garderai précieusement pour les années à venir. C'était une chance unique de voir la planète sous un angle totalement nouveau et d'apprécier sa beauté à couper le souffle ! Aujourd'hui encore, une fois que j'ai fermé les yeux, je peux néanmoins ressentir la montée d'adrénaline lorsque nous nous sommes élevés dans le ciel à bord de notre avion de chasse L-39 Albatros. C'est une rencontre dont je me souviendrai toujours !

13 octobre 2022

Comment fonctionne une motoneige

Tout comme le récepteur du système de positionnement global avec la bombe aérosol, la motoneige a ses origines dans la technologie militaire moderne. Les moniteurs en caoutchouc utilisés sur les véhicules des forces armées hors route s'étaient avérés pratiques dans les conditions météorologiques hivernales, et Joseph-Armand Bombardier de Québec, ¬ Le Canada au départ a adapté ce style pour fabriquer de gros véhicules multi-passagers. Au fil du temps, randonnée motoneige Bombardier a hautement traité son style. Son premier «Snowboarding-Doo» disponible en 1959 et Bombardier Businesses demeure un chef de file de l'industrie de la motoneige en ce moment. ¬Dans cet article informatif, nous examinerons le fonctionnement des motoneiges et apprendrons comment elles fonctionnent comme récréation et transport dans des environnements glacés. Les moteurs de motoneige sont à peu près les mêmes que les moteurs des motomarines individuelles. Les versions plus lourdes de visite profitent souvent du moteur à plusieurs temps, tandis que les versions plus légères et plus sportives utilisent le moteur à deux temps. Un moteur de voiture transmet la puissance à l'aide d'un arbre de transmission, qui fait directement tourner l'essieu ainsi que les roues de l'automobile. Cependant, un moteur de motoneige effectue des backlinks vers un chemin, qui fait tourner le suivi. Les pneus de la motoneige sont essentiellement un équipement énorme avec des dents étalées de manière cohérente avec les fentes des moniteurs. Chaque rotation de l'équipement alimente les chants et fait avancer la motoneige. Plus le moteur est rapide, plus l'équipement tourne rapidement et plus les chansons se déplacent rapidement. Les motoneiges ont également un système d'embrayage qui est fondamentalement une variété de CVT (transmission à variation continue) à structure par poulie. Cette méthode consiste en deux poulies, ou embrayages, connectés à partir d'une boucle d'entraînement. L'embrayage à clé se trouve sur le vilebrequin du moteur. Un ressort précoce de contrainte soutient les deux moitiés du primaire l'une de l'autre si le régime du moteur est inférieur. Lorsque le moteur commence à booster, les poids du système d'embrayage génèrent une force centrifuge suffisante pour fermer l'embrayage, laissant la courroie avancer ouvertement et envoyer de la puissance. L'embrayage secondaire se connecte vers le chemin généré, ce qui change les jantes et alimente les chansons. Un ressort précoce du système d'embrayage secondaire fait fonctionner les cames (cales), qui sont sensibles au couple. Au fur et à mesure que le régime du moteur augmente et que le principal transmet la force, ces cames se rapprochent et tendent la boucle. Ce processus se poursuit puisque la motoneige accélère. Après avoir atteint sa vitesse de pointe, l'embrayage principal se ferme, déplaçant la boucle en un meilleur «articles». Comme la motoneige a besoin de beaucoup moins de capacité pour booster que pour démarrer, le deuxième embrayage démarre. Contrairement à un manuel ou à une transmission automatique, cette méthode est continue et peut aller et venir en douceur entre une variété illimitée de "vitesses" en fonction de la vitesse et du niveau d'énergie nécessaire. Pour obtenir plus d'informations, consultez Comment les CVT fonctionnent.

motoneige (3)

7 septembre 2022

Avoir une meilleure micro-finance

Le manque d'accès au crédit dans les pays en développement enferme les agriculteurs dans la pauvreté. Dans le même temps, il y a un manque de preuves que la microfinance augmente les revenus des pauvres tout en maintenant des taux de remboursement élevés. À l'aide d'une expérience de terrain au Bengale occidental, cette chronique soutient que le fait d'inciter les intermédiaires locaux à sélectionner les bénéficiaires de prêts améliore à la fois la croissance moyenne des revenus et les rendements des cultures par rapport à la microfinance traditionnelle. Rien ne prouve que cette stratégie diminue l'équité, bien que certains groupes défavorisés aient obtenu de meilleurs résultats dans le système existant.
Pour les agriculteurs de nombreux pays en développement, la diversification vers des cultures de rente à forte valeur a été une voie importante pour sortir de la pauvreté. Ce chemin est souvent rendu plus difficile par le manque d'accès au crédit. Les agriculteurs pauvres manquent d'actifs qui pourraient être utilisés comme garantie, et il y a donc un manque de moyens efficaces pour s'assurer que les prêts sont remboursés. Les institutions financières formelles sont donc souvent réticentes à prêter aux pauvres.
Les institutions de microfinance (IMF) ont résolu bon nombre des problèmes d'information liés aux prêts aux pauvres en utilisant les relations locales et le capital social. Cependant, de nombreuses études expérimentales ont recherché des preuves que le microcrédit augmente les revenus des emprunteurs tout en maintenant des taux de remboursement élevés et ont constaté que cela n'a pas été le cas (Banerjee et al. 2015 et Field et al. 2013).
Les raisons de cet échec ne sont pas bien comprises. Une possibilité est que le microcrédit tel qu'il est pratiqué actuellement n'a pas été en mesure de filtrer et de sélectionner des emprunteurs productifs. Les emprunteurs improductifs sont plus susceptibles de faire défaut et paient donc des taux d'intérêt plus élevés sur le marché informel du crédit. Lorsque les microcrédits deviennent disponibles, les emprunteurs improductifs sont fortement incités à en faire la demande. Les agents de crédit des IMF ne peuvent pas identifier ces emprunteurs moins productifs car ils manquent d'informations précises sur les caractéristiques des emprunteurs individuels. Les remboursements fréquents et les restrictions sur la prise de risque peuvent également empêcher les emprunteurs d'utiliser les microcrédits pour des projets à haut rendement comme la culture de cultures commerciales.
Dans les communautés traditionnelles, les prêteurs informels locaux sont mieux informés des caractéristiques des emprunteurs individuels. Nous avons expérimenté une nouvelle méthode d'exploitation de cette base de connaissances, appelée prêt intermédié commerçant-agent (TRAIL), pour savoir si les prêteurs peuvent l'utiliser pour sélectionner des emprunteurs de meilleure qualité. L'IMF délègue la sélection de l'emprunteur à un commerçant ou prêteur informel dans la communauté. L'agent reçoit des commissions qui dépendent de la façon dont les ménages qu'il recommande remboursent leurs prêts. Cela incite l'agent à sélectionner des emprunteurs présentant un faible risque de défaut. Par conséquent, si le risque de défaut est négativement corrélé à la productivité, l'agent sélectionnera un pool d'emprunteurs avec une productivité moyenne élevée.
Une expérience de terrain au Bengale occidental
Nous avons conçu et mené une expérience de terrain dans deux districts de la ceinture de culture de pommes de terre du Bengale occidental, en Inde, pour tester cette idée (Maitra et al. 2016a). L'expérience a été conçue pour évaluer TRAIL par rapport à une variante de microcrédit traditionnelle appelée Group Based Lending (GBL), qui avait des caractéristiques de prêt similaires. Nous avons mené l'expérience dans 48 villages choisis au hasard dans les districts de Hugli et West Medinipur. La pomme de terre est une culture de rente qui génère des rendements moyens élevés, mais qui est également risquée.
TRAIL a été introduit dans 24 villages sélectionnés au hasard. Dans chaque village, un agent TRAIL a été nommé. Cet agent a été choisi au hasard parmi les habitants ayant un nombre substantiel de clients et une réputation commerciale. Les agents ont été invités à recommander 30 clients locaux issus de ménages possédant moins de 1,5 acre de terres cultivables. Dix des 30 clients recommandés ont été choisis au hasard pour recevoir des prêts de responsabilité individuelle d'une IMF, et l'agent TRAIL recevrait une commission de 75 % des intérêts payés par les emprunteurs qu'ils ont recommandés.
Le taux d'intérêt sur ces prêts a été fixé à 18 %, par rapport au taux d'intérêt informel moyen de 23 % pour les villages de notre échantillon. À chaque cycle, les prêts devaient être remboursés en quatre mois. La taille des prêts augmentait de 33 % d'un cycle à l'autre si les remboursements précédents étaient effectués avec succès, ce qui incitait fortement les emprunteurs à rembourser. Les emprunteurs n'étaient pas tenus de rembourser chaque semaine ou chaque mois, de satisfaire aux exigences d'épargne ou d'assister à des réunions de groupe pour rendre compte de la manière dont ils utilisaient les prêts. Cela a permis une flexibilité maximale dans le choix des projets. Le programme a également fourni une assurance contre les chocs covariables négatifs sur les rendements ou les revenus des cultures.
Dans un autre ensemble de 24 villages sélectionnés au hasard, nous avons introduit une approche traditionnelle de prêt de groupe (GBL). Nous avons encouragé les agriculteurs à former des groupes de cinq personnes pour demander des prêts à responsabilité conjointe. Sinon, les prêts étaient identiques à ceux de TRAIL. Nous avons suivi toutes les autres pratiques de microfinance traditionnelles telles que les réunions de groupe fréquentes et les exigences d'épargne.
Trois fois par an, dans chaque village, nous avons interrogé 50 ménages, sélectionnés au hasard, l'échantillon étant conçu pour inclure les ménages qui ont reçu des prêts ("ménages de traitement"), les ménages qui ont été recommandés ou ont formé des groupes GBL mais n'ont pas été sélectionnés au hasard pour recevoir un prêt ('ménages contrôle 1'), et les ménages qui n'ont pas été recommandés ou n'ont pas formé de groupes GBL ('ménages contrôle 2'). La comparaison des résultats des ménages témoins 1 et témoins 2 nous a permis d'évaluer la sélection induite par chaque programme, tandis que la comparaison des ménages traités avec les ménages témoins 1 donne les effets du traitement des prêts, en contrôlant la sélection.
Résultats
Les prêts TRAIL ont généré des effets de traitement moyens (ATE) significatifs, tous supérieurs à 20 %, sur la superficie, les bénéfices de la culture de la pomme de terre et les revenus agricoles agrégés (Figure 1). Les effets correspondants des prêts GBL étaient plus bruyants et statistiquement indiscernables de 0, ce qui est cohérent avec d'autres études expérimentales. Nous n'avons également trouvé aucune preuve que les agents de TRAIL manipulaient les prix ou les quantités dans d'autres transactions pour extraire une partie des avantages de l'emprunteur.
Figure 1 Résultats expérimentaux sur les variations en pourcentage de la superficie, des bénéfices et de la valeur ajoutée
Dans les deux régimes, les taux de remboursement étaient de 95 % sur trois ans. Les taux de souscription au crédit étaient de 92 % au départ, tombant à 62 % après trois ans dans le dispositif TRAIL, alors que pour GBL, les chiffres correspondants étaient de 88 % et 49 %. Le programme TRAIL a réduit les coûts administratifs en évitant les réunions de groupe. Ayant également des taux de souscription plus élevés et des taux de remboursement identiques, la performance financière a été supérieure à GBL.
Figure 2 Performance des prêts
TRAIL a sélectionné des emprunteurs plus productifs, qui ont obtenu des rendements plus élevés sur leurs prêts. Nous constatons également que même en tenant compte de la capacité, les emprunteurs TRAIL ont obtenu des rendements plus élevés. Cela reflétait des incitations supérieures, en raison de la caractéristique de responsabilité individuelle des prêts TRAIL et de l'absence de contrôle par les pairs ou les responsables des IMF. Les deux effets ont augmenté les ATE dans TRAIL, par rapport à GBL. Les différences de sélection étaient responsables d'environ un tiers de la différence d'ATE.
L'efficacité aurait pu se faire au détriment de l'équité. Si la productivité était corrélée avec le statut économique ou social observable, alors les avantages de TRAIL pourraient être concentrés parmi les mieux nantis, ce qui augmenterait les inégalités parmi les pauvres. De plus, en admettant un mélange d'emprunteurs à faible et à haute productivité, GBL a peut-être créé une distribution plus égale des gains.
Nous avons estimé les impacts sur le bien-être des deux régimes pour une gamme de paramètres d'aversion aux inégalités, que nous avons exposés dans Maitra et al. 2016b. Nous avons constaté que, quelle que soit l'aversion aux inégalités, TRAIL a toujours dominé le GBL lorsque les ménages sont différenciés par la terre qu'ils possèdent. En effet, TRAIL a permis aux ménages sans terre de participer au même titre que les autres groupes et a obtenu une croissance des revenus nettement plus élevée que ses homologues de GBL. Les comparaisons de bien-être sont ambiguës pour des niveaux élevés d'aversion aux inégalités lorsque les ménages sont différenciés par caste et religion, car certains groupes sociaux spécifiques ont obtenu des effets de traitement plus élevés dans le GBL. C'est peut-être parce que les membres de ces groupes avaient un capital social élevé.
Les implications pour le microcrédit
Si l'obtention d'impacts élevés sur les revenus des emprunteurs et l'augmentation de la production de cultures de rente sont des objectifs politiques importants, TRAIL est une alternative prometteuse au microcrédit traditionnel. Nos résultats indiquent que l'impact sur les revenus peut être obtenu sans compromettre les taux de remboursement ou la performance financière des micro-prêteurs traditionnels.
Il est possible que les prêteurs locaux abusent de leur pouvoir, et nous avons donc limité la portée de leur implication. Nous n'avons trouvé aucune variation significative dans les autres transactions avec les emprunteurs. Nous n'avons également trouvé aucune preuve que TRAIL réduise les fonds propres lorsque les ménages sont différenciés par statut économique.
En revanche, certains groupes sociaux traditionnellement défavorisés ont obtenu de meilleurs résultats en GBL. Les décideurs qui ont pour mission d'aider ces groupes pourraient combiner à la fois TRAIL et GBL. Dans ce scénario, les ménages les plus pauvres et les plus vulnérables peuvent contracter des prêts de groupe, tandis que TRAIL serait utilisé pour obtenir une meilleure croissance des revenus pour les autres. Quelle que soit la façon dont cela est réalisé, impliquer des intermédiaires locaux pour créer des moyens innovants d'élargir l'accès au marché pour les pauvres semble une approche prometteuse pour promouvoir une croissance inclusive.

16 juin 2022

L'armée de l'air recrute des pilotes de chasse

Avez-vous vu Best Gun ou l'un des films (objectivement terribles) Iron Eagle plus souvent que vous ne voulez bien l'admettre ? Vous rêvez de voler à une vitesse deux fois supérieure à celle de l'air, de faire du 9G et de dominer l'espace aérien de n'importe quel pays du monde, à volonté ? Peut-être êtes-vous motivé par le concept de protection des troupes au sol par le biais d'un soutien aérien rapproché ou simplement par le fait de faire partie intégrante d'une fraternité d'aviation de haut niveau (pour les hommes et les femmes) riche en histoire et en traditions. Si tout cela vous ressemble, aider votre pays en tant que pilote de chasse est peut-être la profession (et la vocation) parfaite que vous recherchez. L'une des préoccupations que nous rencontrons habituellement ici est la suivante : "Comment puis-je devenir un pilote de chasse ?" Nous ne sommes pas étonnés de la fréquence à laquelle nous entendons cela. À bien des égards, le pilotage d'un avion de chasse est le summum de l'aviation humaine. C'est à la fois incroyablement exigeant et incroyablement satisfaisant. Nous espérons que ce qui suit constituera une réponse utile à cette question. Choisissez une voie : Il existe deux voies principales que vous pouvez emprunter pour devenir un aviateur de chasse, la responsabilité active ou le bouclier/la réserve. Les deux voies peuvent mener à la même destination, mais il existe des différences essentielles quant à la façon d'y parvenir et à la qualité de vie en cours de route. Service actif : La première voie est le service en responsabilité active (c'est-à-dire la pression aérienne, la marine ou le corps des Marines). C'est ce à quoi beaucoup de gens pensent lorsqu'ils imaginent une personne servant dans l'armée. Être un pilote en responsabilité active est vraiment un travail à temps plein. Vous vous présentez au travail 5 jours par semaine, que vous voliez ou non. Cette filière offre un salaire et des avantages fantastiques, ainsi qu'une pension du gouvernement si vous servez pendant deux décennies complètes. La voie du service énergique consiste essentiellement à concourir pour avoir la possibilité de suivre une formation de pilote tout en obtenant une commission dans une académie de service, un ROTC ou un OTS/OCS. Ensuite, vous vous engagez à effectuer 10 ans (ou plus) de service militaire à temps plein avant de savoir quel avion vous allez prendre. (Vous vous engagez pour 10 ans juste après avoir terminé la formation de pilote dans l'armée de l'environnement, seulement 8 ans dans la marine et le corps des marines). Cela vous rend dépendant des caprices de la pression aérienne, de la marine ou du corps des Marines. Vous serez affecté à une base différente tous les 3 ans environ. Vous serez déployé dans des zones de combat pendant 6 à 12 mois à la fois, parfois avec seulement 72 heures de préavis. Puisque vous purgez votre obligation de 8 à 10 ans, vous n'avez pas le droit de refuser ces achats. Votre performance à l'entraînement des pilotes par rapport à vos pairs détermine l'ordre dans lequel vous pouvez choisir votre avion. Cependant, les besoins de cette branche particulière du service détermineront les avions disponibles lorsque ce sera votre tour de choisir. Par exemple, si vous êtes en 5e position dans votre classe d'entraînement au pilotage et qu'il y a 5 avions de chasse disponibles, vous aurez la possibilité d'en choisir un (même si ce n'est pas exactement celui que vous voulez). En revanche, s'il n'y a que 3 emplacements de chasseurs disponibles, votre rêve de piloter des avions de chasse risque d'être plus que définitif. Comme on dit, tout est dans le timing. La voie que j'aurais aimé connaître est celle de la Garde nationale d'Atmosphère et de Air Force Hold. Ces deux entreprises sont en théorie des remplaçants de votre armée de l'air de responsabilité active, et elles sont destinées à être un emploi à temps partiel pour la plupart des pilotes d'avion. Le slogan que vous entendez souvent est "un week-end par mois, deux semaines en été", bien qu'étant un pilote de chasse, vous devrez passer au moins une semaine complète par mois dans votre escadron simplement pour maintenir vos qualifications. L'un des plus grands avantages du Bouclier et de la Réserve est que vous ne postulez qu'aux unités que vous souhaitez rejoindre. Vous pourriez être engagé sans aucune rencontre avec l'armée (et avant de signer une quelconque obligation de service militaire) pour piloter les A-10, F-15C, F-16, F-22 ou F-35. Pour consulter la liste complète des emplacements des escadrons de chasseurs dans la Garde et la Réserve, parcourez la carte. Vous suivrez exactement la même formation d'aviateur de premier cycle (UPT) que vos camarades d'active, mais vous aurez l'avantage de savoir que non seulement vous piloterez des avions de combat, mais que vous connaîtrez précisément le type d'avion de combat mma et l'emplacement de l'escadron qui vous sera attribué pour le reste de votre carrière. C'est essentiel : s'engager dans le bouclier ou la réserve est le seul moyen de garantir que vous piloterez un avion de combat. La Garde et la Réserve offrent également une rémunération et des avantages intéressants, bien qu'ils fonctionnent différemment du service actif. La Garde et la Réserve ont également une pension pour les pilotes qui donnent un minimum de 20 ans de service. Là encore, le fonctionnement est différent de celui du service actif. L'obtention de l'aile de pilote dans la garde ou la réserve vous oblige toujours à effectuer dix ans de service, mais ce service peut être à temps partiel. Vous finirez toujours par être déployé, mais vous aurez généralement beaucoup plus de flexibilité quant au moment et à la fréquence de votre départ. La plupart des pilotes de la Garde et de la Réserve ont d'autres emplois à temps plein. Aviateur de ligne est probablement l'"autre" emploi le plus courant, bien que j'aie entendu parler de tout, de l'avocat à l'homme d'affaires en passant par le fainéant de plage. Si, par contre, vous souhaitez travailler à temps plein dans votre unité de Garde ou de Réserve, il y aura presque toujours des commandes à temps plein disponibles dans la plupart des escadrons de chasse. Il y a des avantages et des inconvénients à chaque voie. Toutefois, si votre objectif ultime dans la vie est de devenir un pilote de chasse de l'armée de l'air, nous vous recommandons absolument de choisir la voie de la Garde ou de la Réserve. Pour plus d'informations sur les processus de candidature (très différents) de ces filières.

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